Comment savoir si les perles sont vraies ?

Les perles sont intemporelles, élégantes et précieuses et ont toujours été associées à la richesse. Elles étaient déjà désirées et très prisées dans l’Égypte, la Grèce, Rome, l’Inde et la Perse antiques, où elles étaient utilisées pour décorer les couronnes, les bagues, les broches et, plus tard, même les robes ecclésiastiques et les robes de cérémonie des femmes. Toutefois, seul un petit nombre de personnes pouvait s’offrir un tel luxe. En raison de leur rareté et de la difficulté de les collecter, elles étaient considérées comme plus précieuses que l’or.

La valeur des perles dépend de nombreux aspects, tels que

• la taille,
• la forme,
• la couleur,
• l’éclat,
• la douceur de la surface,
• la transparence.

les perles peuvent être utilisées pour des bijoux tels que des boucles d’oreilles, des pendentifs, des bagues, des broches, mais aussi pour des bijoux plus créatifs, des accessoires et des vêtements.

Les perles peuvent être utilisées pour des bijoux tels que des boucles d’oreilles, des pendentifs, des bagues, des broches, mais aussi pour des bijoux plus créatifs, des accessoires et des vêtements. Les plus populaires sont les perles rondes à l’éclat unique, qui dominent le marché et que l’on retrouve souvent sous la forme de bijoux composés uniquement de perles, tels que les colliers de perles véritables, ou combinés avec de l’or 585 et de l’ argent 925.

Les bijoux en perles plaisent aussi bien aux jeunes femmes qu’aux femmes d’âge mûr. Il est donc utile d’en savoir plus sur les types de perles, leur origine, ce que sont les vraies perles et comment les distinguer les unes des autres, car de nombreux bijoutiers ont recours à des astuces frauduleuses. L’échelle internationale d’évaluation de la qualité des perles la plus couramment utilisée par les bijoutiers est la classification utilisant les symboles suivants : A, A, AA, AA et AAA, les perles marquées AAA étant de la plus haute qualité. La classification est influencée par la taille, la forme, la couleur, la surface, l’éclat et l’épaisseur de la nacre.

Types de perles

Les perles peuvent être classées en fonction de leur origine, de leur couleur et de leur forme :

En fonction de leur origine, on peut distinguer

• les perles naturelles
• les perles de culture
• les perles synthétiques.

En ce qui concerne la couleur, on peut distinguer

• les perles blanches
• les perles noires
• les perles brunes,
• les perles bleues,
• les perles vertes,
• perles roses crème
• perles roses
• perles fantaisie,
• perles fantaisie rose crème.

En termes de forme, on distingue

• les perles rondes
• les perles ovales, qui ont la forme d’un grain de riz
• les perles baroques, également appelées perles mishappen – elles ont une forme unique, aléatoire et irrégulière,
• les perles semi-plates, les perles semi-convexes,
• les perles en forme de quart – trois quarts ovales et un quart plates,
• les perles en forme de goutte,
• perles en forme de bouton – plates d’un côté, légèrement convexes,
• perles de rocaille – petites et asymétriques.

D’où viennent les perles ?

Les perles naturelles, également appelées perles sauvages ou perles véritables, sont des gemmes organiques produites naturellement à l’intérieur des coquilles de mollusques, appelés huîtres perlières, qui vivent dans les mers et les océans. La perle est faite de nacre, la même que celle qui tapisse l’intérieur de la coquille d’un mollusque, et est composée de carbonate de calcium et de substances protéiques.

La formation des perles se produit lorsqu’un morceau d’algue ou un petit crabe se coince dans un mollusque. L’huître se protège alors en enveloppant l’intrus de nacre. Leur caractère unique tient au fait que la création d’une véritable perle est extrêmement rare. Sur plusieurs milliers de moules, une seule produit des perles, ce qui explique que sa valeur soit supérieure à celle de l’or et que, contrairement à d’autres pierres précieuses, elle ne soit pas travaillée mécaniquement.

De plus, à l’état naturel, elle présente un bel éclat. De plus, une perle peut être comparée à une empreinte digitale, car il n’existe pratiquement pas deux exemplaires identiques. La taille des perles est très variable et va de 1 mm à environ 15 mm de diamètre. La couleur des perles dépend de l’espèce de moule et du type, de la qualité et de la température de l’eau dans laquelle elle vit.

Outre les perles naturelles qui se forment dans les huîtres vivant en eau salée, appelées perles d’eau salée, il existe également des perles qui se forment sporadiquement dans les escargots et les moules perlières d’eau douce, appelées perles d’eau douce. Malheureusement, la dévastation des réservoirs a entraîné la destruction des moules d’eau douce qui produisaient naturellement des perles.

Les vraies perles s’usent et vieillissent, ce qui se traduit par leur ternissement, leur fissuration, leur écaillage et, enfin, leur dispersion en une fine poussière. La durée de vie d’une perle naturelle est estimée à environ 100-150 ans, mais il existe quelques spécimens qui atteignent plusieurs centaines d’années. Des tentatives ont été faites pour restaurer les perles, principalement pour retrouver leur couleur et leur éclat, mais aucune méthode n’a donné de résultats satisfaisants.

La grande convoitise et la rareté des vraies perles ont conduit à l’émergence de la perliculture, qui a permis de développer la production de masse de perles, que l’on appelle perles de culture ou perles cultivées. Dans un premier temps, un technicien qualifié insère un morceau de nacre ou de tissu de la moule sacrifiée dans la coquille de la moule productrice de perles. Le mollusque est ensuite remis à l’eau et commence à se protéger en produisant des couches de nacre et en les enroulant autour du morceau implanté à l’intérieur de sa coquille. Les perles nécessitent une intervention humaine et des soins pendant leur formation et, environ deux ans plus tard, elles sont récoltées. Pour accélérer ce processus, une perle de la taille d’un grain de sable est insérée dans la coquille, autour de laquelle la nacre se forme. Plus la perle est petite, plus l’espace laissé à la nacre est grand, ce qui ajoute de la valeur à la perle.

L’élevage de perles est très laborieux et fastidieux et nécessite beaucoup de connaissances et d’expérience. Un élevage moyen d’environ 50 000 perles, après environ deux ans, permet d’obtenir environ 40 % de perles adaptées à la production de bijoux, dont seulement 10 % sont de haute qualité.

Les perles de culture sont également divisées en perles d’eau salée, appelées perles de mer, et en perles d’eau douce, qui poussent dans les rivières, les lacs et les étangs.

Les perles de culture d’eau salée sont plus rares, plus belles, plus précieuses et beaucoup plus difficiles à cultiver. Les plus célèbres sont :

• Les perles d’Akoya cultivées au Japon, qui atteignent 2 à 10 mm et se caractérisent par des teintes claires,
• Les perles de Tahiti ou françaises, qui atteignent 8 à 18 mm, parfois appelées perles noires, mais dont les couleurs comprennent le gris, le bleu, le vert et le violet,
• Les perles des mers du Sud, originaires d’Australie, qui brillent de teintes dorées et sont appelées la reine des perles.

Les perles de culture d’eau douce sont beaucoup moins chères et moins difficiles à cultiver, ce qui les a rendues plus populaires. Un autre avantage est la possibilité d’obtenir plusieurs perles à partir d’une seule palourde. L’inconvénient, cependant, est leur qualité, qui est bien inférieure à celle des huîtres de mer, ce qui les rend moins attrayantes.

L’apparence d’une perle est influencée non seulement par le type d’eau dans laquelle les mollusques sont cultivés, mais aussi par sa température. Dans l’eau de mer froide, les perles poussent plus lentement mais ont plus d’éclat, tandis que les perles des lacs et rivières chauds poussent plus vite mais ont une surface plus terne.

Perles naturelles et perles de culture

Les perles de culture ressemblent aux perles naturelles, ce qui les rend très difficiles à distinguer en comparant uniquement leur apparence. Toutefois, un certain nombre de méthodes ont été développées pour les distinguer. La première méthode consiste à détecter les différences dans la structure interne de la perle à l’aide de rayons X. En appliquant cette méthode, on obtient des résultats qui permettent de classer la perle :

Perle naturelle :

• pas de perle implantée à l’intérieur de la perle,
• toutes les couches de la perle sont disposées en cercle,
• surface lisse,
• densité plus faible,
• l’image surexposée est un hexagone composé de points noirs,
• l’effet des rayons X est une zone lumineuse,
• leur transparence provoque des phénomènes optiques qui se traduisent par un éclat et un jeu de couleurs,
• les perles naturelles jetées sur une surface en verre d’une hauteur de 70 cm rebondissent à une hauteur de 30-40 cm.

Perle de culture

• perle implantée à l’intérieur de la perle, qui est plus brillante que les autres couches,
• dans le cas des non-perles, présence d’une petite zone creuse,
• possibilité d’une fine rugosité de surface,
• une plus grande densité,
• l’image surexposée est un quadrilatère de points noirs,
• l’effet des rayons X est une zone brillante, qui est clairement coupée des couches extérieures par une ligne de démarcation noire,
• les perles de culture jetées sur une surface en verre d’une hauteur de 70 cm rebondissent plus haut que les perles naturelles.

Malgré la disponibilité accrue des perles de culture, leur coût peut encore être élevé et leur valeur dépend de leur qualité, qui est influencée par la taille, la forme, la couleur, la surface, l’éclat et l’épaisseur de la nacre. En raison de la demande croissante de perles et de l’élevage beaucoup plus facile et rapide des mollusques dans les fermes perlières dans des conditions similaires aux conditions naturelles, la récolte des perles naturelles est devenue défavorable au début du 20e siècle, de sorte que les perles naturelles sont devenues encore plus rares.

Bien qu’il soit possible de trouver des spécimens individuels sur le marché aujourd’hui, ils sont généralement trouvés occasionnellement par des pêcheurs lors de la récolte d’huîtres et d’escargots. Elles sont très chères et sont principalement vendues à des maisons de vente aux enchères, à des collectionneurs ou échangées en tant qu’antiquités et trophées.

La rareté des perles naturelles, les améliorations constantes de l’élevage des perles de culture et la demande croissante de perles ont amené le Congrès international des bijoutiers à déclarer en 1926 qu’il n’y avait pratiquement aucune différence entre les perles de culture et les perles naturelles, et que les deux pouvaient être considérées comme de vraies perles.

Aujourd’hui, la quasi-totalité des perles de joaillerie vendues dans le monde proviennent de fermes, ce qui nécessite beaucoup de temps et d’expérience, de sorte que le marché est inondé d’un nombre croissant d’équivalents imitant les vraies perles. Malheureusement, les bijoutiers profitent souvent du manque de connaissances des clients et décrivent leurs bijoux comme étant ornés de vraies perles. Il est donc utile de se familiariser avec les imitations de perles les plus populaires et d’apprendre à les distinguer des vraies.

Les imitations de perles

Outre les perles véritables et les perles de culture, il existe également sur le marché des imitations de perles, également appelées perles artificielles, qui ressemblent à de vraies perles, mais qui sont généralement fabriquées en verre, en plastique ou en coquillage et qui sont émaillées pour ressembler à la surface des perles naturelles. Il existe de nombreux types de perles d’imitation :

• les perles de poisson argenté – perles de verre recouvertes d’écailles de poisson d’eau douce de type carpe, qui créent une réfraction de la lumière et un éclat similaire à celui de la nature,
• Perles de Mabe ou perles du Japon – perles artificielles fabriquées en insérant des graines dans un coquillage, puis en le coupant et en remplaçant les graines par de la nacre,
• Perles de Dugo – fabriquées à partir d’un amas de dents de lamantin, un mammifère aquatique vivant dans les eaux de l’Amérique du Nord et du Sud,
• Les perles des Antilles, fabriquées à partir de nacre d’escargot,
• perles de coquillage – faites de coquillage et de nacre, façonnées en gouttes et en perles de différentes nuances,
• Perles de Majorque – en verre, plastique ou porcelaine, recouvertes d’émail de bismuth et d’acétate de cellulose. Elles sont très populaires en Pologne,
• Les perles de France – perles de verre recouvertes de gélatine,
• les fausses perles roses – fabriquées à partir de coquilles d’escargot et de corail rose,
• les imitations de perles noires – obtenues en polissant des perles d’hématite.

En raison de leur grande qualité, les perles sont souvent associées à l’argent ou à l’or. En choisissant des bijoux sous forme de chaînes et de pendentifs en argent, on peut créer un magnifique collier de perles flottantes. Pour créer d’élégantes boucles d’oreilles en perles, il suffit de commander des anneaux en argent pour y coller une perle. Une queue de perles créera un pendentif subtil qui, associé à la chaîne en argent, complétera parfaitement les boucles d’oreilles. Le bracelet de perles a connu un grand succès ces dernières saisons. Il peut être facilement créé avec des perles sur un fil élastique et en ajoutant des intercalaires ou des pendentifs décoratifs entre les perles. Pour une bague en perles, il suffit de choisir une monture prête à l’emploi et d’y fixer la perle.

Voici quelques exemples de bijoux en perles :

Vraies ou fausses perles

La popularité croissante des perles a conduit à l’émergence de solutions de plus en plus perfectionnées qui ressemblent de très près à de vraies perles :

• La première est la taille. Il est bon de savoir que les vraies perles sont formées à l’intérieur de la coquille d’un mollusque et qu’elles ont donc un potentiel de croissance limité, de sorte qu’elles peuvent atteindre un diamètre maximal de 15 mm. Suivant ce conseil, si la perle est plus grande que 15 mm, il s’agit très probablement d’une imitation.
• La deuxième caractéristique est la forme. Les perles naturelles sont rarement parfaitement rondes ; si vous ne pouvez pas faire la différence en apparence, il vaut la peine d’utiliser une jauge. Si la perle est identique dans toutes les mesures, il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’une vraie perle.
• La troisième caractéristique est la surface. Dans les vraies perles, la surface est rarement parfaitement lisse et des anneaux délicats et d’autres imperfections sont souvent visibles. La rugosité peut être perçue en frottant deux perles l’une contre l’autre ; si les perles sont parfaitement lisses, elles glisseront, signe qu’il s’agit d’une imitation.
• La quatrième caractéristique est une couleur rarement uniforme. Dans les perles blanches, des nuances de rose, de jaune et de bleu s’entremêlent souvent, tandis que dans les perles foncées, on peut voir des éclats de vert, de violet et de bleu marine. Si vous remarquez une couleur différente autour du trou, il est très probable que la perle ne soit pas authentique.
• La cinquième caractéristique est le lustre unique. Dans les vraies perles, le lustre est animé par des couches transparentes légèrement visibles, semblant sortir des profondeurs et reflétant naturellement la lumière. Dans le cas des imitations, le lustre est légèrement atténué, peu profond et sombre. Toutefois, les différences sont si subtiles qu’il est difficile de les remarquer sans expérience.
• La sixième caractéristique est l’épaisseur de la nacre qui s’est développée autour de la graine. Cette caractéristique ne peut toutefois être examinée qu’à l’aide de rayons X.

Outre ces six différences principales, qui influencent non seulement la classification des perles, mais aussi leur valeur, il convient de noter que

• les vraies perles sont lourdes ; leur poids est similaire à celui du verre ou du marbre,
• les vraies perles sont froides et changent de température lorsqu’elles sont portées,
• les perles véritables sont élastiques : après avoir été jetées sur une surface plane, elles rebondissent jusqu’à la moitié de leur hauteur. En revanche, les perles en plastique rebondissent plus haut et les perles en verre plus bas,
• l’authenticité de la perle peut également être vérifiée en la plongeant dans de l’eau bouillante : la vraie perle en ressort indemne, alors que l’imitation est abîmée.

Lors de l’achat d’un collier de perles, une caractéristique très importante est leur similitude de forme, de taille, de couleur et de surface. Les vraies perles seront toujours plus ou moins différentes, tandis que les imitations doivent être identiques. Lors du choix du collier de perles, il convient également de prêter attention à la présence de nœuds entre les perles. Dans le cas des vraies perles, il est d’usage d’éviter que les perles ne frottent les unes contre les autres et ne débordent en cas de rupture. Les fils de fausses perles n’ont pas ces nœuds, car ils nécessitent trop de travail.

Un autre exemple est l’achat de bijoux prêts à l’emploi avec de vraies perles. Le prix élevé des perles signifie qu’elles sont généralement combinées avec de l’argent ou de l’or, de sorte que si elles ont été finies avec un autre métal bon marché, on peut penser que les perles ne sont pas vraies.

Faits intéressants sur les perles

1. Les légendes disent que les perles sont les larmes des anges et que les huîtres qui forment les perles ont été fécondées par un arc-en-ciel qui a touché l’océan.
2. Pendant des siècles, on a cru qu’une perle portée près du cœur stimulait la féminité, favorisait la fertilité, facilitait la grossesse et protégeait contre les mauvais sorts et les malédictions.
3. Au XVIIIe siècle, en Chine, on a découvert qu’une perle pouvait se former sur un grain de sable placé dans la coquille d’un mollusque, mais cela s’est avéré être un mythe, car le mollusque était capable de l’enlever en augmentant sa production de mucus.
4. On attribue aux perles un énorme pouvoir de guérison : la poudre est censée aider à traiter les maladies du cœur et du système circulatoire, et après dissolution dans du jus de citron ou du lait, elle est utilisée pour traiter les troubles mentaux.z cytryny lub w mleku, stosuje się ją na zaburzenia psychiczne.
5. Les principaux endroits où l’on trouve des perles sont le golfe Persique, la baie de Mannar, les côtes de la mer Rouge, Madagascar, la Birmanie, les Philippines, le nord de l’Australie, Haïti, la Floride, les eaux côtières du Mexique et du Panama, les côtes septentrionales de l’Amérique du Sud et les côtes du Japon – cependant, dans certains endroits, les conditions de récolte sont très difficiles et dangereuses, et dans certains cas, elles sont contrôlées par des inspecteurs du gouvernement.
6. Les experts en perles sont en mesure de classer l’origine des perles en fonction de leur couleur et de leur éclat.
7. En Pologne, les perles ont été cultivées en Basse-Silésie aux XVIe et XVIIe siècles à partir des populations méridionales de la moule perlière, mais cette espèce est aujourd’hui considérée comme éteinte.
8. La taille des perles est le gran, 1 gran = 0,05 g = 0,25 carat.
9. La perle la plus précieuse au monde est la perle ronde. En termes de couleur, les perles roses sont les plus chères, suivies des perles crème, blanches et noires.
10. Outre les perles, la nacre est également très prisée.
11. Des trous d’un diamètre de 0,3 mm sont percés à l’endroit défectueux ou moins esthétique, afin d’éliminer l’imperfection ; si cela n’est pas possible, la partie défectueuse de la perle est retirée et le reste est vendu sous forme d’hémisphères ou de trois quarts.
12. Les perles de culture sont souvent appelées perles d’élevage, mais il s’agit d’une appellation erronée car les animaux, en l’occurrence les mollusques, sont élevés et les perles elles-mêmes sont mortes.
13. Apparemment, les femmes à la peau claire choisissent plus souvent des perles roses, tandis que les femmes aux cheveux foncés préfèrent les perles de couleur crème.
14. Il existe de nombreux types de colliers de perles, de différentes longueurs : – le collier avec des perles de même taille est dit uniforme, – le collier avec des perles qui changent régulièrement des extrémités vers le centre est dit gradué, – le collier de perles d’environ 40 cm de long est appelé collier, – le collier qui arrive près de la clavicule est appelé princesse, – le collier de perles entre 50 et 60 cm de long est appelé matinée, – le collier de perles d’environ 80 cm de long est appelé opéra, – la plus grande longueur mesurant environ 90 cm est appelée corde.

Les perles ont toujours intrigué et attiré l’attention en raison de leur beauté naturelle, de leur rareté et des pouvoirs magiques qui leur sont attribués depuis l’Antiquité. Bien que toutes les perles en circulation dans le monde soient cultivées, elles sont toujours considérées comme un symbole de luxe, de richesse et de beauté intemporelle. Les perles dans les bijoux ajoutent de l’élégance, de la valeur et du prestige. Malheureusement, de nombreux bijoutiers et vendeurs ne précisent pas clairement s’il s’agit d’une imitation, comme l’exigent les normes internationales. Il est donc utile d’avoir au moins quelques connaissances de base et d’apprendre à les distinguer, ou d’être vigilant et de s’adresser à des bijoutiers de confiance et d’acheter à des vendeurs réputés. 925CRAFT, en tant que fabricant et grossiste d’articles de bijouterie, propose les perles de culture GAVBARI. Nous vous invitons à vous familiariser avec la vaste gamme de produits et à nous contacter si vous avez des questions ou des inquiétudes.

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